VIBRATIONS

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Un risque persistant malgré l’amélioration des outils

Les vibrations concernent 73,09 % des entreprises du fait de l’utilisation d’outils pneumatiques à main (31,02 %), d’outils vibrants (65,91 %), de poids lourds ou engins de chantier (32,35 %), de chariots élévateurs (42,46 %), de tracteurs agricoles ou forestiers (11,53 %) et leur niveau atteint les seuils de prévention dans 10,21 % des cas.


L’exposition aux vibrations des conducteurs de poids lourds, tracteurs, chariots et opérateurs d’engins s’est considérablement atténuée ces dernières années en raison des progrès continus réalisés dans la conception de ces véhicules.


En revanche les vibrations transmises aux membres supérieurs lors de l’usage de machines portatives ou guidées à la main (perceuses, visqueuses, mouleuses, marteaux-piqueurs, etc.) restent intenses et peuvent, à la longue, provoquer de nombreuses affections et maladies professionnelles. La meilleure façon de prévenir leur apparition consiste à bien veiller à limiter le temps d’utilisation de ces outils, notamment en organisant une alternance entre les tâches vibrantes ou non.


Selon l’INRS, en France, près de 2 millions de travailleurs seraient concernés par ces vibrations, essentiellement dans les secteurs du bâtiment, de la construction mécanique, de la métallurgie, réparation automobile et de l’entretien des espaces verts.

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