Le travail s’adapte mieux aux saisons
Les ambiances de travail chaudes ou froides constituent un risque pour 64,19 % des entreprises traitées, mais seules 31 entreprises sur les 5 850 étudiées atteignent les seuils d’exposition aux températures extrêmes du Compte Professionnel de Prévention (C2P), pour un total de 33 salariés exposés. Dans ces entreprises caractérisées par des activités spécifiques, les risques entraînés par les températures extrêmes font l’objet de mesures de protection et de protocoles rigoureux faisant partie intégrante des règles du métier.
L’immense majorité des entreprises concernées sont celles dont les salariés sont simplement soumis aux aléas météorologiques saisonniers en travaillant à l’extérieur. Pour prévenir ce risque, des mesures simples telles que la mise à disposition d’équipements de protections individuelles, le changement des horaires et de l’organisation du travail suffisent et sont mises en œuvre à chaque fois que cela s’avère nécessaire.